Jelena Jankovic

A venir...

Même quand elle tombe elle rigole, elle est pas croyable

J'aime bien sa tenue

Jelena Jankovic corrige Cornet en finale du tournoi de Rome

dim 18 mai, 18h03


ROME (AP) - La tenante du titre serbe Jelena Jankovic a battu la Française issue des qualifications Alizé Cornet 6-2, 6-2 dimanche en finale du tournoi de Rome.

Tête de série numéro 4, Jankovic s'est détachée 5-1 dans le premier set. Dans la deuxième manche, la Serbe menait 4-1 quand elle a fait appel à un soigneur pour faire examiner son épaule droite.

Jankovic a perdu le jeu suivant, Cornet tenant sa mise en jeu pour la première fois du match, mais a réussi à conclure le match en gagnant ensuite son service avant de faire le break sur un jeu blanc

RG (F) Jankovic : «Toutes mes chances»

lun 26 mai, 15h41


Après une première manche délicate face à la Roumaine Monica Niculescu, Jelena Jankovic a finalement décroché son billet pour le deuxième tour, lundi (7-6[3], 6-2). La tête de série n°3 explique les raisons de sa fébrilité lors du premier set, et pourquoi elle croit en ses chances cette année à Roland-Garros.

«Jelena Jankovic, vous avez démarré votre match de manière idéale, menant 3-0, et puis la suite a été plus délicate...

J'ai bien commencé en effet. Et puis elle a commencé a bien frapper la balle, à réussir de beaux coups, comme ses nombreuses amorties. Et j'ai commencé à me sentir un peu perdue. Je ne connaissais pas du tout son jeu, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre, je n'avais jamais joué contre elle, et elle a un jeu très différent des autres filles du circuit. J'ai perdu mon rythme et tactiquement, j'ai mal joué. J'ai fait de mauvais choix, et j'ai connu des soucis au premier set. Puis je me suis habituée à son jeu, et j'ai mieux joué dans la seconde manche.

Niculescu joue à deux mains des deux côtés. Avez-vous été perturbée par cette particularité ?

Ce n'est pas tant qu'elle joue à deux mains des deux côtés qui m'a le plus ennuyée. J'ai été gênée par ses slices, ses lifts, ses lobs, la variation de son jeu. Elle me rappelle un peu le jeu de Fabrice Santoro. Elle joue vraiment différement des autres filles. Et puis le fait de jouer un premier tour de Grand Chelem est toujours particulier. Il faut un petit peu de temps pour s'adapter à l'atmosphère, au court, aux balles, à tout ! Evidemment, je n'ai pas joué mon meilleur tennis, mais c'est bien d'avoir passé ce tour, et je suis impatiente de disputer mon deuxième match.

Justine Henin ayant décidé de prendre sa retraite, vous êtes une des favorites du tournoi. Abordez-vous Roland-Garros d'une manière différente cette année ?

Je ne me vois pas en tant que favorite. Je suis la n°3 mondiale, et il y a d'autres joueuses qui sont favorites. Je joue bien depuis quelques semaines sur terre battue, c'est vrai. Je travaille avec un nouveau coach, un Espagnol, spécialiste de la surface, et ça m'aide beaucoup. Je sens vraiment que j'ai progressé. Je sens que je joue de mieux en mieux, que j'ai gagné en maturité. Donc j'ai des chances de m'imposer ici oui, mais je prends les matches les uns à la suite des autres.

Vous dites que vous progressez... Assez maintenant pour disputer une finale de Grand Chelem ?

C'est mon rêve de gagner un Grand Chelem. J'ai disputé trois demi-finales dans ma carrière (US Open 2006, Roland-Garros en 2007, et l'Open d'Australie en 2008)... Maintenant que Justine n'est plus là pour me barrer la route, j'ai peut-être toutes mes chances, car je n'ai jamais réussi à m'imposer face à elle.»

Interview service-volée avec Jelena Jankovic
samedi 31 mai 2008
Par Benjamin Adler


Votre film culte ?
Tout peut arriver (Something’s Gotta Give en VO).

Votre chanteur ou groupe préféré ?
Justin Timberlake.

Votre lecture préférée ?
En ce moment ce sont mes bouquins de révision, je vais passer mes examens à l’université bientôt.

Votre site web préféré ?
Le mien, www.jelenajankovic.net.

Votre ville préférée ?
Belgrade bien sûr, et après c’est Rome.

Votre rêve le plus fou ?
J’étais pourchassée par un tueur qui voulait ma peau, ça m’a réveillée de peur et j’étais morte de fatigue en ouvrant les yeux (rire).

Votre plus belle victoire ?
Impossible de répondre (un brin agacée), toutes le sont…

Votre pire défaite ?
Idem, chacune fait mal.

Votre plat préféré ?
Steak et légumes.

Une actrice pour vous incarner à l’écran ?
Julia Roberts.

Votre premier baiser ?
(Gênée) 13 ans.

8e jour - Interview de Jelena Jankovic 8eme jour - dimanche 1 juin 2008

Q. Peux-tu me dire si tu as beaucoup bataillé ?

R. Oui, c'est vrai que j'ai bataillé plus qu'il ne fallait, j'aurais dû plier le match un peu plus tôt je pense, mais je l'ai laissé revenir dans le match et à la fin, j'ai eu du mal. Mais j'ai pu conclure le jeu décisif et j'ai remporté le match en 2 sets.

Q. Je crois que ta mère a quitté le terrain ?

R. Je ne sais pas, parce que je souffrais beaucoup, j'avais un problème avec mon bras. Je n'ai pas fait ce que je devais faire normalement pour conclure le match. Par conséquent, je me suis compliqué la tâche, mais j'ai pu revenir dans le match et j'ai remporté le set.

Q. Pendant le deuxième set, as-tu ressenti peut-être la possibilité d'une défaite ou d'un abandon ?

R. C'est vrai que j'aurais pu perdre le deuxième set puisque j'ai perdu 5 jeux d'affilée, mais je m'accrochais. J’ai essayé de rester positive. Et d'une certaine façon, je voulais remporter le tie-break. Cela a été difficile, elle retournait bien, elle ne commettait pas beaucoup de fautes, je ne lâchais pas mes coups, je n'exécutais pas mes coups, j'essayais de guider la balle avec mon bras, mais cela ne suffisait pas. Il fallait dicter le jeu. Cela arrive, il faut véritablement lâcher ses coups et il faut prendre des risques, c'est ce que je n'ai pas fait. Cela a été difficile mais j'ai remporté le match finalement et c'est ce qui importe le plus.

Q. Es-tu inquiète de ton bras ou de ton dos ?

R. Non. C'est vrai que c'est un peu douloureux, la douleur a commencé ici et remonte. Je ne sais pas ce que je dois faire. Je vais essayer de faire de mon mieux pour me remettre, mais cela fait 3 ou 4 jours que je joue sans m'interrompre. Demain j'ai une journée de repos, j'aurai davantage de temps pour me reposer et me préparer pour le prochain match. Le match contre Cibulkova m'a éreintée, je bougeais beaucoup, je frappais beaucoup de balles. Et dès le départ, je ne bougeais pas bien mes jambes, je me sentais quelque peu fatiguée. Demain, cela va être une bonne journée, je vais me reposer afin d'être prête pour le prochain tour.

Q. Que penses-tu de Radwanska ? Tu penses qu'elle peut être dans les 10 premières joueuses mondiales ?

R. Oui, c'est une très grande joueuse. Elle se déplace bien, elle a un très beau jeu de défense. Elle ne donne pas de points faciles et gratuits, il faut véritablement allez les chercher. Il est difficile de jouer contre elle. Lorsque je menais 5-1, elle a véritablement montré qu'elle était pugnace, combattive, elle a montré qu'elle voulait véritablement revenir. C'est une très grande qualité.

Q. Penses-tu que la blessure peut t’enlever de la pression ?

R. Pas du tout ! J'aurais préféré ne pas avoir de blessure, être en bonne santé. Mais souvent c'est ainsi, on ne peut pas faire autrement. Ce que j'espère, c'est que ma santé s'améliore. Au cours des 2 derniers jours, j'ai joué, je n'ai pas pu me reposer. Demain j'ai une journée de repos pour me reposer et me faire soigner afin d'être en forme pour le prochain tour.

Q. Peux-tu évaluer la qualité de ton jeu ?

R. Au cours des derniers matches je n'ai pas très bien joué, je dois dire. Mais c'est vrai que nous nous approchons de la fin du tournoi, il faut que je monte en puissance. Et puis je vais essayer de faire beaucoup mieux qu'au cours des tours précédents. Je vais essayer de faire de mon mieux. Je pense que j'ai le jeu pour la terre battue, je me déplace très bien sur cette surface, mais j'aujourd'hui, j'étais fatiguée et je n'ai pas pu pratiquer mon meilleur tennis. En tout cas cela suffit pour m'imposer.

Q. (Hors micro)

R. Je ne l’avais jamais vu jouer avant. J'ai vu son nom, elle a battu Mauresmo, je crois. Je n'ai pas vu la façon dont elle a joué, je ne sais même pas à quoi elle ressemble. Nous verrons. Je vais essayer de jouer mon jeu, mon coach connaît peut-être cette adversaire, il va me prodiguer quelques conseils et recommandations.

Q. Félicitations, bien évidemment ! As-tu vu le match d'Ana ? Que penses-tu d'Ana ? Penses-tu qu'il y aura une demi-finale entre les Serbes ?

R. Je n'ai pas vu ses matches parce qu'ils ont été rapides, expéditifs ! Je me suis entraînée de 10 heures 30 à 11 heures, ensuite j'ai pris une douche, puis je me suis étirée, je me suis fait soigner mon bras. Il y avait un set et elle était largement en avance, donc tout est allé très vite. Je sais qu'elle a un très bon niveau de jeu. C'est vrai qu'elle a un très bon tableau. Elle a atteint les quarts de finale. Peut-être que l'on va se rencontrer en demi-finale, mais bien sûr il va falloir s'imposer en quarts de finale pour qu'on se rencontre en demi-finale. On verra comment ça se passera.

Q. Tu étais très prudente, il y avait des balles courtes et tu ne les as pas attaquées, tu as reculé.

R. Je ne sais pas, il y a bien des choses que j’aurais pu mieux faire. Si je devais parler de ces choses-là, cela prendrait beaucoup de temps.

Q. Si on regarde ta carrière, tu as connu des blessures, penses-tu adapter ton jeu afin de ne pas mettre ton corps à rude épreuve ?

R. C'est vrai qu'à Roland Garros, beaucoup de joueurs et de joueuses souffrent des bras parce que les balles sont plus lourdes. J’ai vu qu’Agnieszka aussi avait le bras bandé. Je ne sais pas de quel type de douleur elle souffre, mais beaucoup de joueurs et de joueuses se plaignent de leur bras. Je ne suis pas la seule à souffrir du bras. J'essaie de travailler d'arrache-pied pour que mon corps soit en bonne santé. Mais parfois, on n'a pas le choix, c'est ainsi.

10e jour - Interview de Jelena Jankovic - mardi 3 juin 2008

Q. Peux-tu nous parler un peu des conditions atmosphériques ? C'était spécial avec la pluie ? Etait-ce difficile de rentrer dans le match ?

R. Oui, au premier set, il pleuvait. En fait, il bruinait et c'est vrai que les balles étaient extrêmement lourdes. Donc, les conditions étaient différentes des conditions habituelles.

Néanmoins, nous devons jouer. Il fallait que je reste concentrée. Je ne connaissais pas très bien mon adversaire, je ne connaissais pas son jeu ni la façon dont elle jouait.

Elle a passé les qualifications et elle a atteint les quarts de finale. Il fallait que je sois prête, que je sois concentrée, que je fasse mon boulot du mieux possible.

Donc je suis très contente d'atteindre les demi-finales.

Q. Que penses-tu de son style ? Etait-ce une joueuse difficile à jouer ?

R. C'est une joueuse espagnole spécifique de terre battue. Elle frappe avec beaucoup de lift. C'est vrai que ses balles peuvent être très lourdes et elle peut vous repousser très loin derrière la ligne du fond du court. Il fallait que je sois proche de la ligne du fond du court afin de prendre la balle très tôt.

En fait, il fallait que je dicte le jeu.

Q. Cela fait longtemps que l'on ne t’a pas vue appeler le kiné et aussi en forme. On a pensé que tu n'avais peut-être plus de blessures.

Apparemment, tu es allée voir un médecin et tu es revenue ?

R. Je suis allée en Serbie.

Quel jour c'est aujourd'hui ? Mardi. Donc en fait, après mon match... Contre qui j'ai joué ? Je ne me souviens plus contre qui j'ai joué ! (Rires). Mon dernier match, c'était contre qui ?... Oui, contre Radwanska, c'est cela.

Donc après le match contre Radwanska, mon bras me faisait souffrir. J'avais des problèmes avec mon bras. Je ne me sentais pas bien du tout. J'ai pris un avion privé et je suis allée en Serbie, je suis arrivée la nuit. J'ai vu mon médecin avec lequel je travaille depuis longtemps. Il m'a donné un autre traitement le matin et je suis revenue hier. Je suis arrivée sur le court, j'ai pu me préparer un peu avant et heureusement que je suis allée là-bas, car je n'aurais peut-être pas pu jouer. Je n'aurais peut-être pas pu jouer le match dans sa totalité. On m'a prodigué des traitements, je me suis mieux sentie et aujourd'hui, je n'ai ressenti aucun problème avec mon bras et j'en suis ravie d'ailleurs.

Q. Qu'as-tu exactement au bras ?

R. Je ne sais pas. Vous savez, de nombreux joueurs ont des problèmes avec leur bras. La douleur a commencé au niveau du coude, elle est remontée, elle s'est propagée. Radwanska aussi m'a dit que pendant 2 semaines, elle n'a pas pu jouer. Son bras est dans le plâtre. Je ne suis pas la seule qui connaît ce type de problème. Je pense que les balles sont trop lourdes. Les joueurs et les joueuses connaissent des blessures similaires à la mienne.

Donc je me suis accrochée, je me sens mieux, je n'ai pas ressenti de douleurs pendant mon match, c'est très bien et c'est très positif. J'ai une journée de repos, cela va m'aider et je serai prête pour la demi-finale.

Q. Qui a écrit « I love Paris » ?

R. J'ai dessiné un coeur sur mes chaussures, j’ai des cœurs partout, beaucoup d'amour un peu partout. J'ai marqué « I love Paris », on m'a dit d’écrire « I love Paris », mais il fallait que je l'écrive en français : « J'aime Paris. »

C'est vrai que j'avais ce vilain bandage sur mon bras. J'ai décidé d'écrire quelque chose dessus et j'adore Paris. Donc pourquoi pas ?

Q. Après ce tournoi, tu peux être la numéro 1 mondiale. Cela te donne de la pression ou davantage de motivation ?

R. Non, pas de pression, plus de motivation. Le tournoi va s'achever bientôt, il ne reste plus que quelques matches et j'espère que je vais pouvoir me battre sur le court pour réaliser ce rêve qui est de devenir numéro 1 mondiale et je n’en suis pas très loin. Je vais essayer de faire véritablement de mon mieux pour être numéro 1 mondiale.

Q. Tu vas jouer contre Ana. Elle l’a souvent emporté. Pourquoi ?

R. Je n'en sais rien. Elle a un jeu différent. J'ai du mal parfois à suivre, à lire son jeu. C'est vrai qu'elle essaie de conclure les points parfois rapidement. Par le passé, j'ai connu des ennuis, mais je ne suis pas certaine que l'on ait joué très souvent sur terre battue. Les circonstances sont différentes, ce match sera différent. Le jeu sera différent, on va voir ce qu'il va advenir.

Q. Tu as perdu ton service trois fois aujourd’hui. Est-ce que cela t’inquiète face à une joueuse comme Ana ?

R. Il va falloir que j'attaque, car elle a des faiblesses. Il va falloir que j’aie la bonne tactique pour jouer les bons coups au bon moment et j'espère que je vais pouvoir atteindre la finale ici à Roland Garros.

Q. Apparemment, son jeu ne te convient pas. Pourquoi ne changes-tu pas les choses ?

R. Ici, le match sera différent, jouer sur terre battue sera un match différent. Je joue mieux sur terre battue que sur d’autres surfaces parce que je me déplace bien. Je sais brouiller les cartes. Il faut que j’adopte la bonne tactique. Donc on va voir comment cela va se passer. C'est vrai qu'il y a des joueuses qui ont un jeu auquel je m'adapte plus facilement. Je vais essayer de jouer différemment. Puis, je vais essayer de l'emporter en demi-finale.

Q. Aujourd'hui, apparemment tu t’es attiré la sympathie du public. Tu échanges avec le public. As-tu toujours joué de cette façon ?

R. En fait, j'étais contente aujourd'hui parce que je n'avais pas de douleurs. J'ai pu apprécier ce match, je me suis sentie relâchée aujourd'hui. C'est très difficile d'être heureuse lorsque vous connaissez des problèmes, des petits pépins physiques. Aujourd'hui, j'ai joué sans douleurs, je souriais. J'ai pu être moi-même. J'ai apprécié le public. C'est vrai que le public était impliqué dans le match, j'étais tout sourire sur le court. C'était très bien et c'est ce que je suis censée faire tout le temps. Mais parfois, c'est très difficile de faire cela.

Q. Penses-tu que le public détourne ton attention ?

R. Entre les points, parfois, le public réagit, mais cela ne me gêne pas. Mais vous savez, lorsque je sers ou lorsque je retourne, je suis concentrée.

Q. Il y a 6 ou 7 ans, il y avait une très grande concurrence entre Justine Henin et Kim Clijsters. Penses-tu que ce sera la même chose entre toi et Ana pendant 6 ou 7 ans ?

R. Oui, je pense. Je pense que nous allons dominer le tennis mondial bientôt. Nous serons parmi les toutes meilleures. L’une de nous deux atteindra la place de numéro 1. Mais cela dépendra de la forme que l'on aura pendant toute l'année. Mais je pense que c'est bien pour le tennis serbe, c'est positif d'avoir de nouveaux visages pour le monde. C'est bien qu'il y ait une belle rivalité entre nous et j'espère que cette rivalité va se perpétuer. Nous allons donc essayer de rivaliser toutes les deux.

En fait, on se motive mutuellement pour être de meilleures joueuses.

Q. Contre Ana, tu as joué de beaux matches. Ce sont de belles batailles. Mais mentalement, elle a été plus forte que toi. Penses-tu que c'est une bataille mentale ?

R. Vous savez, il y a une bataille mentale avec n'importe quelle autre joueuse. La joueuse qui peut gagner le match, c'est celle qui frappe bien les coups au bon moment. Mais ce n'est pas simplement contre Ana. Contre tout adversaire, il faut être fort mentalement. Comme je vous l'ai dit auparavant, il faudra que j'essaie de mettre en place la bonne tactique, il faut que je mette en place mon jeu. Il faudra que j'exécute mes coups avec... Comment pourrait-on dire ? Je suis fatiguée, il est 20 heures et en plus, je n'ai pas beaucoup dormi, je reviens de Serbie, j'ai pris l'avion. Donc je vais me reposer et je vais profiter de ce moment. J'attends avec impatience les demi-finales et j'espère atteindre la place de numéro 1 mondiale. Pour moi, l'occasion est énorme.

Jelena JANKOVIC (battue par Ivanovic) : « C'était bien de revenir au deuxième set parce que j'étais menée d'un set et j'avais un break de retard. J'ai mené au troisième mais j'ai laissé le match me filer entre les mains. A 4-4, elle m'a pris mon service. J'ai joué de malchance. Je suis extrêmement déçue d'avoir perdu ce match. Je n'ai pas atteint la finale. Je n'ai pas pu accrocher la place de n°1 mondiale. C'était un match important pour moi. Après le match, j'ai fondu en larmes. Avec mon bras, j'e n'arrivais pas à frapper la balle aussi fort que je l'aurais voulu et elle était plus puissante que moi, notamment en coup droit. Avec Ana, en dehors du court, nous ne sommes pas les meilleures amies. C'est très difficile d'entretenir de bonnes relations avec les joueuses. C'est un monde de femmes. Avec les hommes, c'est peut-être différent parce qu'ils jouent un match et après, ils vont boire une bière.»

Elle aime vraiment pas ivanovic

Touka! Jelena n'aura qu'à aller boire la bière des perdants avec Monfils et Nole

sunkiss a écrit:

Touka! Jelena n'aura qu'à aller boire la bière des perdants avec Monfils et Nole

:pan: attention à tes petites fesses, toi!!!

Jankovic remplace Ivanovic comme numéro un mondiale
Associated Press
St. Petersburg
Dimanche,le 10 août 2008

Jelena Jankovic est officiellement devenue la numéro un mondiale à la WTA, avec le classement de lundi.

Jankovic savait depuis une semaine qu'elle remplacerait sa compatriote serbe Ana Ivanovic.

Jankovic a accédé au sommet sans avoir joué, car il n'y avait pas de tournoi de la WTA cette semaine. Elle avait raté sa chance lors de ses quatre tournois depuis le mois de juin, cette année.

L'athlète de 23 ans a remporté son sixième titre en carrière à Rome, en mai. Elle a atteint les demi-finales en Australie et à Roland-Garros, cette année.

La native de Belgrade doit normalement participer aux Jeux de Pékin.

Ivanovic a occupé le premier rang pendant neuf semaines, obtenant cet honneur après son triomphe à Roland-Garros, cette année, où elle a remporté un premier tournoi majeur.